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Politique internationale

de Weerdt Blanche Par Le 01/09/2016 0

Dans un monde qui à la fois se divise de plus en plus et se « normalise » de plus en plus grâce à la finance et aux multinationales, il faut que la France face entendre sa voix au niveau planétaire.

Mener une politique d'influence implique trois éléments fondamentaux :

  • Des buts soigneusement définis et cohérents

  • Une cohésion dans l'exécution qui nous manque et dont nous semblons incapables.

  • Une continuité.

Dans un monde qui bouge, la position de la diplomatie française manque de clarté : - des hommes d'état sont invités officiellement puis, quelques mois après, une intervention militaire a lieu dans leurs pays, - la diplomatie française fustige les actions militaires de certains états auxquels nous vendons des armes …

Pour définir nos rapports avec les autres pays, il faut d’abord définir quelques grandes lignes qui rendent cohérente notre politique étrangère :

  • Rendre transparente notre politique

  • Balayer chez soi avant de vouloir donner des leçons au Monde

  • Respecter la volonté des peuples

  • Consultation des citoyens avant toute intervention militaire.

Nous avons les outils et les moyens nécessaires pour mener une politique ambitieuse :

  • au Conseil de Sécurité des Nations Unies en tant que membre permanent

  • au sein de l'Union européenne,

  • au sein du commandement intégré de l'OTAN La France occupe à partir de 2009 un nombre important de postes d’officiers au sein du commandement intégré de l’OTAN, et en particulier le poste de Commandant Suprême Allié pour la Transformation (SACT), occupé entre 2009 et 2012 par le Général Abrial, puis, en septembre 2012, par le Général Paloméros. Le 30 septembre 2015, le Général Denis Mercier lui succède

  • au G7

et à des postes clés

  • au Fonds Monétaire International,

  • à la Banque Mondiale,

  • à l'Organisation Mondiale du Commerce, anciennement GATT

  • de la Banque Centrale Européenne

Mais nous faisons souvent les choses à l'envers. En Afrique, nous faisons la guerre dans des pays où pauvreté, misère sociale, sécheresse sont à l'ordre du jour. Si nous voulons arrêter l'immigration, stabiliser les peuples là où ils sont nés, nous devons aider les agresseurs et les agressés au lieu de combattre. Aussi devant les conséquences du changement climatique qui engendre des guerres, proposons au niveau mondial, des solutions de bon sens afin d'aider les populations à ne pas fuir devant des catastrophes écologiques et économiques à la recherche de territoires plus fertiles avec cette première action :

Défendons l'idée d'un fonds d'aide international à partir de toutes les transactions boursières au niveau mondial de 0,01% pour venir en aide aux populations victimes de catastrophes naturelles (inondations, tremblements de terre, éruptions volcaniques, tsunamis....) 

 

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