societe solidaire

La protection de l'enfant

La protection de l'enfant – le prénom

Un haut commissariat à l'enfance est créé (1) et fait déjà polémique pour des questions de gros sous. Or, on peut facilement protéger sans dépenser. Commençons par le commencement : Les prénoms !

Quel est l'enfant qui n'a pas subit de quolibets de la part de ses congénères lorsqu'il était petit parce que son nom de famille était Letordu ou Lebigleu ? Combien d'enfants ont eu un prénom que même adulte ils ne peuvent assumer ?

Tout commence donc avec le prénom que des parents aimants, mais parfois inconscient du poids que l'enfant va devoir porter toute sa vie donnent à celui-ci.

Entre liberté totale et calendrier religieux avec quelques exceptions comme ce qui fut de règle jusqu'au milieu du XXe siècle, il y a un juste milieu. Ce n'est que le 9 janvier 1993 (2) que la loi autorisa tous les prénoms à charge de l'officier d'état civil d'alerter ensuite le procureur de la République si ce choix lui semble contraire à l'intérêt de l'enfant

L'on devrait pouvoir donner trois prénoms à l'enfant : deux d'usage jusqu'à la majorité de l'enfant choisi parmi une nomenclature officielle d'environ un millier de prénoms (entre masculins, féminins et diminutifs) dans lequel les parents pourraient puiser pour le premier prénom ; puis un troisième à la liberté totale des parents.

Lorsque l'enfant atteint sa majorité il suffit de rajouter sur la carte d'identité une ligne « dit » après le prénom et le nom, et l'adulte pourrait ainsi choisir le prénom qu'il assumera soit parmi les prénoms que lui ont donné ses parents, soit un autre.

 

Ceci étant déjà une première protection contre les harcèlements à l'école.

Abrogation de toutes les lois précédentes pour n'en créer qu'une seule et unique suffit et pas d'argent dépensé.

 

 

Références :

(1) https://www.francetvinfo.fr/societe/enfance-et-adolescence/protection-de-l-enfance-on-n-y-est-toujours-pas-regrette-l-association-sos-villages-d-enfants-apres-l-annonce-de-la-creation-d-un-haut-commissariat_6981884.html

(2) https://www.leparisien.fr/archives/dans-le-retro-choix-du-prenom-l-annee-ou-la-loi-a-change-13-10-2015-5182111.php

Ceci étant déjà une première protection contre les harcèlements à l'école.

Abrogation de toutes les lois précédentes pour n'en créer qu'une seule et unique suffit et pas d'argent dépensé.